17 avril 2007
Le rouge de l’hombre
Le rouge de l’hombre
Dans le rouge de l’hombre
Des instants de satin
Dansent des gigues sombres
De mémoires sans teint
Au zénith de la transe
Des astres de sang s’animent
Des rougeoiements denses
Au goût acres des rimes
Des souffles survolant les cimes
S’ébrouent sur le vélin
Dans une nuée de frime
Et de brouillard malin
Le temps s’efface enfin
Dans ces délires dilemmes
Ces virtuels festins
Où l’âme est le théorème
Hugo
Lyon
Avril 2006
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